Le 25 juin, à Lens près de l'Université, une fenêtre des locaux de l’APEI a été fracturée, et du matériel électronique a été dérobé. Puis, le 2 juillet, rue de Londres à Lens, ce sont les bureaux d’Enedis qui ont été fouillés. Le mode opératoire était similaire : une fenêtre brisée, et, à l’arrivée, de l’outillage ainsi que les clés de plusieurs véhicules avaient disparu.
Des traces retrouvées sur place
Sur les lieux des différents cambriolages, les enquêteurs ont relevé des traces permettant d’identifier un suspect. Il s’agit d’un homme âgé d’une quarantaine d’années, déjà connu de la justice pour des faits similaires et actuellement incarcéré. Il a été placé en garde à vue le 22 juillet dernier pour être entendu. Selon une source policière, le quadragénaire aurait reconnu les faits.
Il sera convoqué devant le tribunal en 2026 dans le cadre d’une COPJ.
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