Trois scénarios différents :
- le premier montre un équilibre entre tous les bassins du Grand Arras, avec une bonne répartition des moyens de transport et des ressources ;
- le deuxième prône la sobriété énergétique, dans des maisons rénovées mais aussi partagées ;
- le dernier montre Arras comme une métropole attractive, qui profite de sa situation géographique entre Lille et Paris.
Trois scénarios différents, avec chacun ses avantages et ses inconvénients, sur lesquels les habitants ont été invités à débattre ces derniers jours.
Le résultat de cette consultation publique servira ensuite de base aux élus lors du prochain conseil communautaire, en juin, pour établir le PLUi. Le Plan local d’urbanisme intercommunal (PLUi) est un document qui donne le ton de la politique d’urbanisme pendant les 15 prochaines années, donc jusqu’en 2040. Il influencera la construction ou non de nouveaux logements, de nouvelles lignes de transport ou encore les plantations et les espaces verts.
Depuis 2024
Cela fait déjà un an que le Grand Arras consulte sa population pour « faire parler les habitants, pour qu’ils mettent en avant les points saillants du territoire, les points forts et les points faibles, et ce dont il aurait besoin pour l’avenir », explique Valérie Dubost, directrice de l’Urbanisme du Grand Arras.
Valérie Dubost explique la démarche
Une méthode appréciée par les volontaires, qui se sentent partie prenante, même si certains, comme Damien, insistent : « S’ils n’appliquent pas ce qu’on dit, cela ne sert à rien. »
Pour cela, il faudra attendre la fin de l’été, où le PLUi sera présenté aux habitants.
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