Horizon : Vous étiez en concert sur la Grand’Place de Béthune le 14 juillet 2016. Vous revenez à Béthune. Que s’est-il passé pour vous en 10 mois ?
Beaucoup de choses ! Nous avons fait essentiellement des concerts. Ça s’est tellement bien passé qu’à la fin du mois de décembre, nous avons pris la décision de poursuivre la tournée alors qu’elle devait s’arrêter. Une dizaine de Zénith se sont ajoutés à notre agenda ainsi que plusieurs autres scènes. Tant qu’à faire, nous nous sommes dit qu’on irait sur les festivals. Vous pourrez ainsi nous retrouver au printemps de Bourges, aux Francofolies, aux Soliday’s, aux Déferlantes…
Vous avez remplis plusieurs Zénith et votre album « Bruxelles » est disque de platine. Quels sont vos prochains objectifs et projets ?
« Bruxelles » s’est vendu à 130 000 exemplaires. Nous sommes très heureux d’avoir rempli des Zénith même si nous sommes surpris de voir que cet album résonne chez tous ces gens. Désormais, nous nous concentrons sur la tournée avant de poursuivre vers des festivals jusqu’en septembre. Après, nous allons-nous poser pour plancher sur le 4e album, chez nous à Tarbes. Ensuite, nous repartirons en tournée.
Vous restez très proches de votre public et il vous le rend bien. Pas question de changer d'attitude avec le succès ?
Nous n’avons pas prévu de changer d’attitudes (rires). Dans tous les cas, nous sommes sur scène tels que nous sommes dans la vraie vie. C’est assez simple comme rapport. A la fin des concerts, nous prenons le temps de rencontrer le public afin d’avoir son avis. C’est aussi le moment de dire aux gens « bonjour », « au revoir » et aussi de voir quelles sont les personnes qui nous suivent. De la sortie, les gens voient aussi que nous sommes normaux. C’est une relation plutôt saine qui nous plait.
Propos recueillis par Géraud Lefebvre
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